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Ecole de commerce, communication, immobilier Alpes Maritimes

Transition numérique et écologie : incompatibles ?

La transformation digitale des entreprises s’est considérablement accélérée ces derniers mois avec les nouveaux modes de travail. Seulement, cette activité a un impact environnemental important. Le numérique représente d’ailleurs 4 % des émissions à effet de serre dans le monde. Voici nos conseils pour réduire votre empreinte écologique.

Des chiffres alarmants

Que ce soit pour votre utilisation professionnelle ou personnelle, vous avez recours tous les jours aux outils numériques. S’il n’est pas toujours évident de limiter votre consommation, il est nécessaire de vous rappeler quelques chiffres : 

  • 1,4 milliard de mails sont envoyés quotidiennement en France ;
  • 1 mail = 4 g de CO2 ;
  • 1 mail avec pièce jointe volumineuse = 50 g de CO2 ;
  • 10 000 à 50 000 mails non lus stockés.

 Les courriers électroniques conservés représentent une pollution considérable, car les données sont sauvegardées inutilement dans des data-centers gourmands en énergie. Nous vous invitons à multiplier ces chiffres par le nombre de courriels que vous envoyez chaque jour pour faire le constat de votre bilan énergétique. 

Les solutions pour réduire votre empreinte numérique

Les entreprises ont pris conscience que leur activité numérique a un impact environnemental, mais améliorer cela représente un investissement important ou une projection sur plusieurs dizaines d’années. Des gestes simples pour réduire la pollution numérique peuvent être tout de même réalisés.

Nous vous conseillons d’utiliser Cleanfox régulièrement. Ce site vous permettra de nettoyer vos messageries et de supprimer tous les vieux mails. Vous serez surpris de voir ce que vous conservez ! 

Vous vous apprêtez à envoyer un courriel avec des pièces jointes à votre collègue du bureau d’à côté ? Rappelez-vous les chiffres énoncés plus haut, peut-être pourriez-vous vous déplacer pour lui transmettre des fichiers via Clé USB ou Airdrop. 

Une autre solution est d’encourager le déploiement de data-centers « verts ». C’est le cas à Sophia Antipolis, avec la société Euclyde Data Centers qui est éco-responsable. La consommation d’énergie y est contrôlée et conforme aux nombreuses certifications écologiques.

Vous pouvez également mettre en veille votre ordinateur toutes les 3 minutes sans utilisation et éviter de garder plusieurs onglets ouverts. Avez-vous pensé au moteur de recherches Ecosia? En l’adoptant, vous compensez votre empreinte carbone en contribuant à la plantation d’arbres. D’autres astuces sont à retrouver sur le site de WWF. 

Le numérique n’est pas l’ennemi de la transition écologique, il peut même être un levier. C’est son utilisation qui doit être raisonnée et responsabilisée. Les entreprises ont pour mission d’encourager les collaborateurs à limiter leur impact environnemental.

C’est une partie de la  démarche RSE globale d’une organisation (Responsabilité Sociétale des Entreprises).

A vous de jouer !

 

Alors que la transition écologique devient une véritable nécessité qu’il faut implanter à tous les stades de la société, certains secteurs patinent encore. Parmi ceux-ci, les entreprises qui considèrent parfois cette démarche comme un frein pour leur développement et même n’hésitent pas à tricher.

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« Machine Learning » : le futur du commerce ?

Le futur appartient-ils aux ordinateurs ? Alors que de nombreux scientifiques appellent à la plus grande prudence quant au développement de l’intelligence artificielle, les secteurs économiques veulent eux profiter le plus possible de ce potentiel. Selon une étude de l’institut Mckinsey Global, l’utilisation du « machine learning » va augmenter de façon exponentielle dans les prochaines années. Premiers concernés, la distribution et l’industrie qui ont bien compris les avantages qu’ils pouvaient en tirer.

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